Thomas Cecchelani est un artiste, photographe et graphiste diplômé de L’ENS Louis-lumière en 2018. Après une résidence au musée Nicéphone Nièpce avec Léo Delafontaine, il co-édite en 2019 le livre Cutting Paper aux éditions 77. Il a co-fondé le collectif Studio Acide en 2020.
Il travaille en tant que portraitiste pour la presse, et développe en parallèle une pratique personnelle foisonnante et hétéroclite. Partant de l’expérimentation, ses productions sont pensées comme des constellations d’images. Son travail plastique est varié et s’oriente principalement autour des thématiques du corps, de la violence, et de l’étude du vivant. Ses recherches sur la matérialité et le support physique de l’image forment une unité dans son travail : elles sont transversales et récurrentes.
Sa pratique est quotidienne, tâtonnante, et aboutit à la création d’images documentaires, intimes et fictionnelles. Tout cela forme des collections hétérogènes qui sont pensées pour interagir entre elles. Par le moyen de la photographie, il s’agit de créer des ensembles pluriels et multiformes, de produire un récit aussi bien politique que poétique.
Il a été l’assistant des photographes Noémie Goudal, Léa Crespi, Fred Stucin, Carolina Arrantes, Manuel Obadia Wills, Mathieu Zazzo et Audoin Desforges. Thomas Cecchelani a notamment été publié dans les journaux Libération, Les inrockuptibles, L’Obs, M le Monde et Les Échos.
Thomas Cecchelani est un artiste, photographe et graphiste diplômé de L’ENS Louis-lumière en 2018. Après une résidence au musée Nicéphone Nièpce avec Léo Delafontaine, il co-édite en 2019 le livre Cutting Paper aux éditions 77. Il a co-fondé le collectif Studio Acide en 2020.
Il travaille en tant que portraitiste pour la presse, et développe en parallèle une pratique personnelle foisonnante et hétéroclite. Partant de l’expérimentation, ses productions sont pensées comme des constellations d’images. Son travail plastique est varié et s’oriente principalement autour des thématiques du corps, de la violence, et de l’étude du vivant. Ses recherches sur la matérialité et le support physique de l’image forment une unité dans son travail : elles sont transversales et récurrentes.
Sa pratique est quotidienne, tâtonnante, et aboutit à la création d’images documentaires, intimes et fictionnelles. Tout cela forme des collections hétérogènes qui sont pensées pour interagir entre elles. Par le moyen de la photographie, il s’agit de créer des ensembles pluriels et multiformes, de produire un récit aussi bien politique que poétique.
Il a été l’assistant des photographes Noémie Goudal, Léa Crespi, Fred Stucin, Carolina Arrantes, Manuel Obadia Wills, Mathieu Zazzo et Audoin Desforges. Thomas Cecchelani a notamment été publié dans les journaux Libération, Les inrockuptibles, L’Obs, M le Monde et Les Échos.